Marguerite, vendredi nous renouions ensemble.     Sur la surface écranique vous me rappeliez aux « mots », à vos « maux » d’écrivaine qui quotidiennement me poursuive.    

   À travers cette Jeanne, cette autre grande, vous ressuscitiez en elle comme je m’enlisais dans cette transposition étonnante.    Et ce Yann, cet amour pur, lucide, incorporé par votre entité, vos textes et votre présence m’amène à croire à l’absolue.

   Bref, Marguerite, Jeanne et Yann vous donnez par votre fougues cet espoir d’aller plus loin. Tandis que prêt de nous le genre humain stagne et attend la mort avec cette inertie désespérante vous, vous vous régénérez dans la puissance qu’est la vie.

Raynald Gagné TOUS DROITS RÉSERVÉS © Cinémedi@film juillet 2002.

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